Le Nain Foutriquet a encore frappé. J'ignore encore comment l'affaire est prise en France mais, ici, la guerre est déclarée. J'imagine que, à moins que vous ne viviez dans une grotte isolée en plein coeur de l'Amazonie, auquel cas même ce billet serait inutile car vous n'auriez pas le Wifi, vous avez entendu parler du discours de Mr Sarkozy.
Tout a commencé avec l'attribution de la Légion d'honneur à Jean Charest.
Bon, j'imagine qu'en tant que premier ministre du Québec, il est légitime qu'il la reçoive. Mais je ne peux m'empêcher d'avoir des tressautements nerveux lorsque j'entends que cette distinction est attribuée à Céline Dion, par exemple. Ce n'est pas parce que je n'aime pas sa musique que je m'insurge contre un tel acte mais parce que je n'en comprends pas le sens. Si l'on prend la raison première de cette décoration, il s'agit d'une reconnaissance nationale de la France aux personnes qui ont eu un rôle politique ou un comportement digne d'éloges au service de l'hexagone ou bien, à titre protocolaire, aux personnes qui en ont servi les intérêts, peu importe leurs origines. Alors, en quoi Céline Dion entre t'elle dans ces catégories? Ce n'est pas un oscar ou un disque d'or. La tendance à distribuer la légion d'honneur à tire-larigot dénature complètement la fonction première de cette décoration et rend son attribution presque ridicule, à mon sens.
Mais je m'égare et en oublie ma réflexion première. Lors du discours d'attribution de la Légion d'honneur à Jean Charest, notre si talentueux président a fait montre, une fois de plus, de sa grande compétence en matière de diplomatie et de culture générale en usant de termes par trop agressifs à l'égard de certains souverainistes. Connaissant sa forte tendance à se comporter en enfant gâté, je ne peux m'empêcher de penser qu'il s'agit peut-être de sa mini vengeance pour s'être fait reprocher, lors de sa dernière visite, la brièveté de son séjour. Oui mais voilà: nous ne sommes pas dans une cour d'école et parler sans connaître est le meilleur moyen de créer des crises diplomatiques et politiques. Encore une fois, aujourd'hui, on va devoir ramasser les pots cassés par un président qui se pense omniscient et omnipotent.
Encore trois ans à l'endurer: ça donne envie de prendre le bord parfois!
Tout a commencé avec l'attribution de la Légion d'honneur à Jean Charest.
Bon, j'imagine qu'en tant que premier ministre du Québec, il est légitime qu'il la reçoive. Mais je ne peux m'empêcher d'avoir des tressautements nerveux lorsque j'entends que cette distinction est attribuée à Céline Dion, par exemple. Ce n'est pas parce que je n'aime pas sa musique que je m'insurge contre un tel acte mais parce que je n'en comprends pas le sens. Si l'on prend la raison première de cette décoration, il s'agit d'une reconnaissance nationale de la France aux personnes qui ont eu un rôle politique ou un comportement digne d'éloges au service de l'hexagone ou bien, à titre protocolaire, aux personnes qui en ont servi les intérêts, peu importe leurs origines. Alors, en quoi Céline Dion entre t'elle dans ces catégories? Ce n'est pas un oscar ou un disque d'or. La tendance à distribuer la légion d'honneur à tire-larigot dénature complètement la fonction première de cette décoration et rend son attribution presque ridicule, à mon sens.
Mais je m'égare et en oublie ma réflexion première. Lors du discours d'attribution de la Légion d'honneur à Jean Charest, notre si talentueux président a fait montre, une fois de plus, de sa grande compétence en matière de diplomatie et de culture générale en usant de termes par trop agressifs à l'égard de certains souverainistes. Connaissant sa forte tendance à se comporter en enfant gâté, je ne peux m'empêcher de penser qu'il s'agit peut-être de sa mini vengeance pour s'être fait reprocher, lors de sa dernière visite, la brièveté de son séjour. Oui mais voilà: nous ne sommes pas dans une cour d'école et parler sans connaître est le meilleur moyen de créer des crises diplomatiques et politiques. Encore une fois, aujourd'hui, on va devoir ramasser les pots cassés par un président qui se pense omniscient et omnipotent.
Encore trois ans à l'endurer: ça donne envie de prendre le bord parfois!
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