Il était une fois une belle histoire d'amour, quelque part sur notre planète, entre un homme charmant et une jolie jeune femme. On raconte qu'ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants. On raconte aussi qu'ils vivaient dans un coin de paradis, près de leurs amis. Un conte de fée comme on en lit tous les soirs à nos enfants. Une vie qui demeure un secret espoir caché dans un coin de notre cœur.
Mais les enfants grandissent et le rêve aussi. Ce que ne dit pas le conte, c'est qu'un jour, la belle princesse se transforme en femme aimante délaissée ou bien en harpie. Le beau jeune homme se lève un matin et regarde sa compagne avec les yeux d'un étranger. L'histoire est finie, chacun rentre chez lui. On n'y peut rien: c'est la vie, parait-il. La vraie fin du conte, la voici:
Il nous faut une princesse pour en raconter l'histoire. J'aurais bien pris Cendrillon, mais Téléphone l'a déjà très bien fait. Connaissez-vous la chanson de Téléphone sur la jeune fille à la Citrouille? Elle est très chouette. Mais je m'égare! Donc Cendrillon étant déjà prise, je vais me pencher sur le cas de Blanche Neige, et ce, pour plusieurs raisons: elle a mangé la pomme, elle aussi, elle a vécu avec des nains et, enfin, elle porte un très beau nom pour le Québec!
Blanche Neige, donc, est partie vivre avec son prince en son beau château, loin de sa vilaine belle mère et de son miroir magique. Jeune ingénue, Blanche Neige est heureuse de vivre avec son amoureux, qui est tout attentionné, galant et romantique. Il est son premier et unique amoureux. Lors de ses loisirs, Blanche Neige rencontre des amis et passe de longues après midi à discuter de tout et de rien à la terrasse des cafés. Les années passent et, parfois, le temps d'un souffle, elle se demande ce qu'aurait été sa vie, si elle n'était pas née princesse. Elle aime son Prince mais elle a l'impression qu'il lui manque quelque chose. Elle ne sait pas quoi.
Le temps n'arrête jamais sa course et il laisse derrière lui les vestiges des hommes, qui naissent et meurent dans un battement d'aile. Le prince est parti, ou bien était-ce Blanche Neige? Peu importe, cela ne change rien. Le conte est fini. Les amoureux éperdus ont vu le vrai visage de l'amour et il ressemblait à un papillon: Beau, magnifique, gracieux, magique... et éphémère.
Mais les enfants grandissent et le rêve aussi. Ce que ne dit pas le conte, c'est qu'un jour, la belle princesse se transforme en femme aimante délaissée ou bien en harpie. Le beau jeune homme se lève un matin et regarde sa compagne avec les yeux d'un étranger. L'histoire est finie, chacun rentre chez lui. On n'y peut rien: c'est la vie, parait-il. La vraie fin du conte, la voici:
Il nous faut une princesse pour en raconter l'histoire. J'aurais bien pris Cendrillon, mais Téléphone l'a déjà très bien fait. Connaissez-vous la chanson de Téléphone sur la jeune fille à la Citrouille? Elle est très chouette. Mais je m'égare! Donc Cendrillon étant déjà prise, je vais me pencher sur le cas de Blanche Neige, et ce, pour plusieurs raisons: elle a mangé la pomme, elle aussi, elle a vécu avec des nains et, enfin, elle porte un très beau nom pour le Québec!
Blanche Neige, donc, est partie vivre avec son prince en son beau château, loin de sa vilaine belle mère et de son miroir magique. Jeune ingénue, Blanche Neige est heureuse de vivre avec son amoureux, qui est tout attentionné, galant et romantique. Il est son premier et unique amoureux. Lors de ses loisirs, Blanche Neige rencontre des amis et passe de longues après midi à discuter de tout et de rien à la terrasse des cafés. Les années passent et, parfois, le temps d'un souffle, elle se demande ce qu'aurait été sa vie, si elle n'était pas née princesse. Elle aime son Prince mais elle a l'impression qu'il lui manque quelque chose. Elle ne sait pas quoi.
Le temps n'arrête jamais sa course et il laisse derrière lui les vestiges des hommes, qui naissent et meurent dans un battement d'aile. Le prince est parti, ou bien était-ce Blanche Neige? Peu importe, cela ne change rien. Le conte est fini. Les amoureux éperdus ont vu le vrai visage de l'amour et il ressemblait à un papillon: Beau, magnifique, gracieux, magique... et éphémère.
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