Toute bonne chose a une fin, comme dirait l'autre. D'ailleurs, j'aimerais bien le rencontrer cet "autre", parce qu'il a lancé un bon nombre de ces petites phrases qui se veulent un réconfort en cas de mauvaise passe! ^-^
Bref, vous l'aurez deviné: les vacances sont finies et je suis de retour sur le sol Canadien. Finalement, aucun des avions que j'ai pris pour ce séjour ne s'est écrasé... Comme quoi, organiser une fête de départ éloigne le mauvais sort!
J'étais partie pour un mariage: j'ai retrouvé un peu de paix, de sérénité et de calme, perdus depuis un an. C'est étrange car je ne suis généralement pas capable de rester trop longtemps au même endroit: je déménage, je voyage, je fuis en permanence les situations stables et rassurantes que je prétends rechercher. Pourtant, là bas, de l'autre côté de l'océan, dans ce coin de pays où les cigales et les sangliers sont plus nombreux que la population elle-même, j'ai senti tout au fond de mon coeur que j'étais bien. Simplement heureuse.
Deux semaines, c'est très court lorsqu'on veut revoir tous les êtres qui nous sont chers: je n'ai pas vu le temps s'enfuir. Qu'à cela ne tienne: j'étais le plus heureux des êtres durant ces quelques jours. On ne se rend pas compte, au quotidien, combien les petites choses qui ont participé à vous construire vous manquent.
Me voilà de retour à Montréal et j'ai encore un peu de mal à le réaliser. ça va passer: je vais retrouver mes amis, mes habitudes, le kung fu et le travail.
Tout va bien aller.
Bref, vous l'aurez deviné: les vacances sont finies et je suis de retour sur le sol Canadien. Finalement, aucun des avions que j'ai pris pour ce séjour ne s'est écrasé... Comme quoi, organiser une fête de départ éloigne le mauvais sort!
J'étais partie pour un mariage: j'ai retrouvé un peu de paix, de sérénité et de calme, perdus depuis un an. C'est étrange car je ne suis généralement pas capable de rester trop longtemps au même endroit: je déménage, je voyage, je fuis en permanence les situations stables et rassurantes que je prétends rechercher. Pourtant, là bas, de l'autre côté de l'océan, dans ce coin de pays où les cigales et les sangliers sont plus nombreux que la population elle-même, j'ai senti tout au fond de mon coeur que j'étais bien. Simplement heureuse.
Deux semaines, c'est très court lorsqu'on veut revoir tous les êtres qui nous sont chers: je n'ai pas vu le temps s'enfuir. Qu'à cela ne tienne: j'étais le plus heureux des êtres durant ces quelques jours. On ne se rend pas compte, au quotidien, combien les petites choses qui ont participé à vous construire vous manquent.
Me voilà de retour à Montréal et j'ai encore un peu de mal à le réaliser. ça va passer: je vais retrouver mes amis, mes habitudes, le kung fu et le travail.
Tout va bien aller.
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